chiche snt

1 Scientifique

Des rencontres entre élèves de seconde et scientifiques du numérique pour sensibiliser aux sciences du numérique et susciter la curiosité envers ces sciences ; bousculer des stéréotypes sur le métier de scientifique ou d’experts et expertes en sciences et technologie du numérique ; susciter des vocations notamment chez les filles et ouvrir le champ des possibles pour les choix d’orientation.

Quel-le scientifique du numérique ?

Le programme « 1 scientifique, 1 classe : chiche ! » mobilise des chercheurs, chercheuses, enseignants-chercheurs, enseignantes-chercheuses, ingénieur·e·s, doctorant·e·s en sciences du numérique d’Inria, du CNRS, d’universités et d’écoles d’ingénieurs.
Si vous travaillez dans une de ces structures d’enseignement supérieur et de recherche, n’hésitez-pas, rejoignez le réseau des scientifiques volontaires !

Pourquoi aller dans les classes ?

Rencontrez des lycéens et des lycéennes pour :

  • leur donner l’envie de mieux comprendre le numérique en tant que science et plus généralement l’impact de la science dans la société,
  • leur faire découvrir le monde de la recherche en racontant votre parcours et votre métier à des jeunes qui n’ont parfois jamais rencontré 1 scientifique de leur vie,
  • susciter des vocations, notamment auprès des filles car le numérique a besoin d’elles !,
  • éclairer les choix d’orientation des élèves et notamment le choix de la spécialité numérique et science informatique (NSI) proposée en première et terminale.

En pratique…

  • Vous dédiez de votre temps pour aller à la rencontre des lycéennes et lycéens et de leurs équipes pédagogiques.
  • Vous rencontrez une ou plusieurs classe de seconde lors d’une ou deux interventions d’1 heure environ. À la suite de quoi, un échange avec l’équipe pédagogique et plus spécifiquement avec les enseignants de SNT et de NSI peut être organisé.
  • Vous leur parlez librement de votre métier, de votre parcours et de votre recherche. Pour vous inspirer et vous préparer, consultez les ressources, et échanger avec un ou une collègue qui a l’habitude de la médiation scientifique.

Témoignages

« Les retours sont vraiment chouette. On arrive avec des élèves qui ne sont pas particulièrement sélectionnés à avoir des questions pertinentes, scientifiques, de la curiosité et ça c’est vraiment génial. »
Marie-Duflot Kremer, maitre de conférences à l’Université de Lorraine

« Peu d’élèves ont exprimé l’envie de devenir chercheur pour une raison qui donne tout son sens au programme « 1 scientifique, 1 Classe : chiche ! » : les élèves pensent que c’est trop dur. Que ce métier est inaccessible. Un parcours type à Bac +8, ça fait peur. Sans parler ensuite du concours. Taux de sélectivité : un sur trente. Là aussi, ça fait peur. Un élève m’a dit : c’est impossible ! Je lui ai répondu que certes, l’objectif est difficile à atteindre. Mais le numérique recrute beaucoup. Alors même s’ils ne parviennent pas à faire une carrière académique, ils auront quand même des métiers passionnants. Et ce ne seront ni des plans B, ni des voies de garage. Donc aucun risque à s’engager dans la filière. Moi, je me suis laissé porter par ma passion. Je n’ai rien calculé. Si je m’étais posé trop de questions, je n’aurais rien fait. »
Loïc Hélouet, chercheur au centre Inria de l’université de Rennes

Et pour vous aider …


Casser les stéréotypes de genre

Pour vous préparer, nous vous invitons à visionner ci-dessous les vidéos réalisées à ce sujet avec Isabelle Collet

Casser les stéréotypes de genre